lundi, juin 23
ADVF à Strasbourg

mardi, juin 10
Et si on parlait vrai ?

Pendant longtemps, j’ai cru que pour aider les autres, il suffisait de suivre un protocole.
Entrer, faire le ménage, préparer un repas, repartir. Cocher les cases.
Mais la vie m’a appris autre chose.
J’ai vu des personnes âgées comme Marie-Claire, 80 ans, attendre.
Attendre que quelqu’un passe.
Attendre qu’on tienne parole.
Qu’on prenne le temps.
Mais dans certaines agences, quand l’auxiliaire est absente, personne ne vient.
Et Marie-Claire reste seule, avec ses 3 heures d’aide par semaine… sur le papier.
J’ai aussi vu l’autre côté : des collègues fatiguées, payées au minimum, pressées par le temps.
Avec parfois 9 euros nets de l’heure pour un travail humain, physique, exigeant.
Et moi dans tout ça ?
Je suis différente. Pas meilleure, juste libre.
Libre de prendre le temps.
Libre de choisir les personnes que j’accompagne.
Libre d’écouter vraiment, de respecter le rythme, les silences, les petits gestes du quotidien.
Je suis ADVF indépendante, par vocation, pas par nécessité.
Je ne cherche pas à remplir un planning à tout prix.
Je cherche à donner du sens, à tisser des liens vrais.
Bien sûr, je ne suis pas une agence.
Je n’ai pas dix remplaçantes.
Mais quand je m’engage, je le fais avec tout mon cœur.
Je crois qu’on peut accompagner autrement.
Avec respect.
Avec humanité.
Avec cohérence entre ce qu’on dit et ce qu’on fait.
Si mes mots vous parlent, si vous aussi vous croyez à un accompagnement plus juste et plus humain,
alors… parlons-en.
✯ Parce qu’accompagner, ce n’est pas faire « à la place », c’est être là, vraiment. ✯
Contact :
Silvana B.F. – ADVF Indépendante – Dakini
SIRET : 940 751 761 00013
33 avenue des Vosges, 67000 Strasbourg
Email : advfsilvanaloudiere@hotmail.fr
Tél. : 06.84.30.72.33

Pourquoi, à Strasbourg, malgré tant de besoins, personne n’appelle ?
À Strasbourg, de nombreuses personnes âgées ou en difficulté ont besoin d’aide à domicile. Pourtant, il est souvent difficile de trouver des appels ou des contrats, même quand on est prête à travailler dur comme Assistante De Vie aux Familles (ADVF). Pourquoi cette contradiction ? Nous allons explorer les raisons avec des données et questions clés.
Questions pour engager la discussion :
- Quel est le taux réel de demande d’aide à domicile à Strasbourg ?
(Selon les données de l’ARS Grand Est, X% des personnes âgées de plus de 75 ans vivent seules et ont besoin d’aide quotidienne.) - Pourquoi, malgré ce besoin, beaucoup d’ADVF indépendants ne reçoivent pas d’appels ou de contrats ?
(Y a-t-il une préférence pour les grandes agences, une méconnaissance du statut indépendant, ou un problème de communication locale ?) - Comment fonctionnent les agences comme O2 à Strasbourg ?
(Leurs critères de sélection, leurs frais, et leurs limites pour les indépendants.) - Quels sont les freins administratifs ou financiers pour les familles qui souhaitent embaucher une ADVF indépendante ?
(Manque d’informations sur les aides, peur des démarches, etc.) - Quels conseils donneriez-vous aux ADVF indépendants pour se faire connaître et obtenir leurs premiers contrats ?
- Comment les ADVF peuvent-elles protéger leur énergie et éviter de se laisser absorber par un système compliqué et peu humain ?
En 2023, selon l’INSEE, plus de 20% des habitants de Strasbourg ont plus de 65 ans, avec une augmentation constante prévue pour les prochaines années. Pourtant, les offres d’emploi pour ADVF indépendants restent très rares.

Les défis des ADVF indépendants avec les publics fragiles à Strasbourg
Quand les règles empêchent les professionnels engagés d’aider les plus fragiles
En tant qu’Assistante De Vie aux Familles indépendante, il est parfois très frustrant de constater que certaines règles ou restrictions empêchent de travailler avec les plus vulnérables, comme les bébés ou les personnes très malades.
Les agences et les organismes comme la DREETS imposent des normes strictes pour garantir la sécurité des publics fragiles, ce qui est essentiel. Cependant, cela peut aussi exclure des professionnels compétents, dévoués et prêts à accompagner ces familles avec bienveillance.
« Pourquoi les professionnels indépendants, formés et expérimentés, sont-ils parfois mis à l’écart dans l’accompagnement des personnes les plus fragiles ? »
Cette situation soulève plusieurs questions :
- Les règles actuelles sont-elles adaptées à la réalité des besoins des familles ?
- Comment garantir la sécurité tout en permettant à des professionnels sérieux d’intervenir ?
- Quelles sont les alternatives pour les familles qui souhaitent un accompagnement humain et personnalisé ?
En attendant, beaucoup d’ADVF indépendants continuent à se former et à se battre pour montrer leur valeur, en espérant que les pratiques évoluent pour mieux inclure tous ceux qui veulent vraiment aider.

Faut-il être esclave des agences comme O2 pour gagner de l’argent en tant qu’ADVF ? 1)
Où trouver de l’argent quand on n’a pas encore de clients ?
Être ADVF indépendante sans clients, c’est un défi quotidien. Beaucoup rêvent d’une « plaque magique » qui ferait arriver l’argent sans effort. Spoiler : ça n’existe pas.
Alors, quelles options s’offrent à vous ?
- Se faire référencer par des agences comme O2 peut offrir un flux régulier de missions, mais cela signifie aussi parfois accepter des contraintes et une certaine dépendance.
- Développer son réseau personnel auprès des médecins, des pharmacies, des associations locales ou des voisins pour trouver des clients en direct.
- Proposer des services complémentaires à votre activité ADVF, comme du baby-sitting, de l’aide aux devoirs, ou des ateliers pour enfants, pour diversifier les sources de revenus.
- Utiliser les aides et subventions locales ou nationales destinées aux créateurs d’entreprise, comme le dispositif ACCRE ou autres aides à la création.
- Investir du temps dans la communication : site web, réseaux sociaux, flyers dans les commerces, participation à des événements locaux.
Le plus important est de ne pas perdre de vue votre objectif : aider les familles tout en gagnant votre vie. Cela demande du temps, de la patience et de la persévérance.
Êtes-vous prête à construire votre propre chemin, sans dépendre uniquement des agences ? Quels sont vos trucs et astuces ? Partagez-les en commentaire !

Quelle est la solution pour un(e) ADVF indépendant(e) sans appels ni clients ?
Quelle est la solution pour un(e) ADVF indépendant(e) sans appels ni clients ?
Être Assistante De Vie aux Familles indépendante est un vrai défi, surtout quand les appels et les clients se font attendre. Beaucoup se demandent : comment sortir de cette situation ?
Voici quelques pistes concrètes à explorer :
- Développer sa visibilité en ligne : Créer un blog, être active sur les réseaux sociaux, partager son expertise et ses témoignages pour attirer des familles.
- Créer un réseau local : Parler de votre activité aux commerces de proximité, pharmacies, cabinets médicaux, et associations locales.
- Collaborer avec d’autres professionnels : Établir des partenariats avec des infirmières, kinés, ou assistantes sociales qui peuvent vous recommander.
- Proposer des services personnalisés : Adapter vos prestations aux besoins spécifiques des familles, comme l’aide aux enfants, aux personnes âgées ou malades.
- Se former continuellement : Acquérir de nouvelles compétences, suivre des formations complémentaires pour augmenter votre valeur ajoutée.
- Être patient(e) et persévérant(e) : Le démarrage est souvent lent, mais la constance finit par payer.
Enfin, n’oubliez pas de vous accorder du temps pour vous afin de garder votre énergie et votre motivation intactes. Votre engagement et votre passion sont vos meilleurs atouts.
Quelles autres idées avez-vous pour réussir comme ADVF indépendant(e) ? Partagez vos expériences en commentaires !

Faut-il être esclave des agences comme O2 pour gagner de l’argent en tant qu’ADVF ? 2)
Faut-il être esclave des agences comme O2 pour gagner de l’argent en tant qu’ADVF ?
Pour beaucoup d’Assistants De Vie aux Familles (ADVF) indépendants, travailler avec des agences comme O2 est souvent perçu comme la voie principale pour obtenir des missions régulières et un revenu stable. Toutefois, il est important d’examiner cette réalité avec attention.
Il est reconnu que, dans certains cas, la rémunération nette perçue par les professionnels peut sembler disproportionnée par rapport au travail effectué et aux responsabilités assumées. En effet, une partie des tarifs facturés par les agences correspond à leurs frais de gestion, ce qui peut réduire le revenu final de l’ADVF.
Cependant, travailler avec une agence offre aussi des avantages, comme la facilité d’accès aux missions, un encadrement administratif et une certaine sécurité.
Pour ceux qui souhaitent développer leur activité de manière indépendante, voici quelques pistes à considérer :
- Développer un réseau local en se faisant connaître auprès des familles, des professionnels de santé et des associations.
- Communiquer efficacement via un site web, un blog ou les réseaux sociaux pour attirer des clients directs.
- Proposer des services personnalisés adaptés aux besoins spécifiques de chaque famille, ce qui peut justifier un tarif plus juste.
- Se former régulièrement pour améliorer ses compétences et valoriser son expertise.
- Utiliser les aides disponibles pour les créateurs d’entreprise afin de faciliter le démarrage.
En conclusion, bien que les agences représentent une solution pour trouver rapidement des missions, il est possible de construire une activité indépendante durable et rémunératrice en s’investissant dans la relation directe avec les clients.
Qu’en pensez-vous ? Avez-vous déjà essayé l’une ou l’autre de ces approches ? N’hésitez pas à partager votre expérience en commentaire.

Travailler comme ADVF à Strasbourg : entre agences, indépendance et réalité du CESU
Faut-il être dépendante des agences comme O2 ou peut-on vivre de la CESU en tant qu’ADVF à Strasbourg ?
Beaucoup de femmes qui se lancent comme ADVF indépendantes se posent la question : « Dois-je travailler pour une grande agence comme O2 pour gagner ma vie ? » ou « Est-ce que le système CESU est une vraie alternative ? ».
1. Le modèle agence : sécurité mais salaires bas
Travailler pour une agence comme O2 permet d’avoir des missions régulières et un cadre administratif pris en charge. Mais en contrepartie, la rémunération reste souvent basse : une partie importante du tarif horaire facturé au client revient à l’agence.
Par exemple, une agence peut facturer 27€/h au client, mais l’ADVF reçoit environ 10-11€/h net. Cela laisse peu de marge pour vivre dignement.
2. Le CESU : liberté, mais précarité si seul
Avec le CESU (Chèque emploi service universel), c’est le particulier employeur qui vous rémunère directement. Vous êtes déclarée, vous cotisez pour votre retraite et vous gagnez souvent mieux qu’en agence (environ 14-16€/h net, parfois plus).
Mais il faut tout gérer seule : trouver les clients, organiser ses horaires, gérer les absences. Cela demande du temps, de la communication, et parfois de l’énergie que l’on n’a pas toujours au début.
3. Et à Strasbourg, qu’est-ce qui fonctionne ?
À Strasbourg, le CESU fonctionne mais reste encore peu utilisé par les familles pour des tâches complexes ou médicalisées. Beaucoup préfèrent passer par des structures agréées. Le bouche-à-oreille est lent, et les plateformes en ligne sont saturées.
Cependant, certaines ADVF réussissent à se faire connaître localement, en laissant des brochures, en participant à des forums, ou en se connectant avec des assistantes maternelles ou infirmières libérales.
Conclusion : tout dépend de votre énergie et de votre objectif
Oui, il est possible de vivre sans les agences, mais cela demande de la stratégie, de la persévérance et un réseau. Les agences offrent un début de sécurité, mais la liberté vient souvent avec le CESU… si vous êtes bien préparée.
Et vous ? Quelle voie avez-vous choisie ? Le CESU, une agence, ou un mix des deux ? Partagez votre expérience en commentaire.

ADVF à Strasbourg
🔸 En ces temps d'incertitude, beaucoup de personnes âgées ou familles seules se sentent isolées, dépassées ou fragilisées. 🔸 En France...

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